Celan'a rien à voir avec ton chien, la gale est un parasite, un acarien. La gale est une infection due à un parasite appelé sarcopte. Cette affection est trÚs fréquente et cosmopolite. Le nombre de nouveaux cas est en diminution depuis 1985. La femelle sarcopte creuse un tunnel dans la couche la plus superficielle de la peau (la couche
AprĂšs la dĂ©couverte de traces du virus Covid-19 chez un chien Ă Hong Kong, faut-il craindre pour la santĂ© de nos animaux de compagnie ? Non, rĂ©pondent les autoritĂ©s 28 fĂ©vrier 2020, le chien d'une sexagĂ©naire atteinte par le coronavirus a Ă©tĂ© placĂ© en "quatorzaine" comprendre une quarantaine de 14 jours Ă Hong Kong. La raison ? L'animal a Ă©tĂ© testĂ© positif au coronavirus. Si, selon les autoritĂ©s sanitaires locales, le chien ne prĂ©sente aucun symptĂŽme de la maladie, "des Ă©chantillons prĂ©levĂ©s dans les cavitĂ©s nasales et orales ont Ă©tĂ© testĂ©es faiblement positifs au virus du Covid-19".Coronavirus faut-il avoir peur aussi pour nos animaux de compagnie ?Pas de panique l'Organisation Mondiale de la SantĂ© OMS affirme qu'Ă ce jour, "rien ne prouve que les animaux de compagnie ou les animaux domestiques, tels que les chiens ou les chats, peuvent ĂȘtre infectĂ©s par le virus responsable de la COVID-19 ou le propager".Par ailleurs, pour le Dr Sophie Le Poder, vĂ©tĂ©rinaire, interrogĂ©e par nos confrĂšres de Sciences et Avenir, une transmission du coronavirus Covid-19 de l'animal Ă l'homme relĂšve de la "science-fiction" "il y a 20 ans, nous n'avons pas notĂ© de transmission aux animaux domestiques du virus responsable du SRAS syndrome respiratoire aigu sĂ©vĂšre alors qu'il ressemblait beaucoup Ă celui de la maladie Covid-19. ... Pour un virus, passer d'une espĂšce Ă l'autre n'est pas quelque chose de simple." Rassurant...Et le coronavirus fĂ©lin ?Le coronavirus existe chez l'animal... mais il n'a rien Ă voir avec le coronavirus Covid-19 responsable de l'Ă©pidĂ©mie actuelle ! Les chats peuvent ainsi ĂȘtre contaminĂ©s par deux virus de la famille des coronavirus le FeCV Feline Enteric Coronavirus et le FIPV Feline Infectious Peritonitis Virus. La transmission se fait via les selles, et la maladie se manifeste Ă travers un amaigrissement, des vomissements, de la diarrhĂ©e et une Organisation Mondiale de la SantĂ© OMSĂ lire aussi Non, vous ne pouvez pas attraper le coronavirus avec un colisCoronavirus pourquoi il ne faut pas paniquerEpidĂ©mie de coronavirus stade 3, quelles mesures ?Fake news non, le fenouil n'est pas un remĂšde contre le coronavirus chinois !Coronavirus en Chine et dans le monde les dates clĂ© de l'Ă©pidĂ©mieLe coronavirus covid-19 va-t-il vraiment disparaĂźtre au printemps ?Comment faire son gel hydroalcoolique maison ? Inscrivez-vous Ă la Newsletter de Top SantĂ© pour recevoir gratuitement les derniĂšres actualitĂ©s
SantĂ© L'animal, nommĂ© Buddy, Ă©tait un berger allemand de sept ans. Il Ă©tait tombĂ© malade en avril dernier et prĂ©sentait notamment des difficultĂ©s Ă respirer. Le berger allemand de sept ans a finalement Ă©tĂ© euthanasiĂ©. Illustration © MARIJAN MURAT / DPA / dpa Picture-Alliance via AFP Bien moins touchĂ©s que les humains, les animaux dĂ©plorent tout de mĂȘme quelques victimes du coronavirus le premier chien Ă avoir Ă©tĂ© testĂ© positif au coronavirus aux Ătats-Unis est mort, rapporte le magazine National Geographic, aprĂšs avoir prĂ©sentĂ© des symptĂŽmes apparemment semblables Ă ceux de beaucoup d' un berger allemand de sept ans, Ă©tait tombĂ© malade en avril, Ă peu prĂšs au moment oĂč son propriĂ©taire Robert Mahoney se remettait lui-mĂȘme du Covid-19, a indiquĂ© le magazine cette semaine. Buddy semblait avoir le nez bouchĂ© et des difficultĂ©s Ă respirer, et son Ă©tat n'a cessĂ© de se dĂ©tĂ©riorer au fil des semaines. Robert Mahoney et son Ă©pouse Allison, qui vivent Ă New York, ont finalement dĂ©cidĂ© d'euthanasier le chien le 11 juillet, lorsque Buddy a commencĂ© Ă vomir des caillots de sang, Ă avoir du sang dans ses urines et Ă ne plus pouvoir LIRE AUSSIItalie un chat atteint d'un virus extrĂȘmement rare suscite l'inquiĂ©tudeDouze chiens et 10 chats testĂ©s positifs aux Ătats-UnisLa famille a dit Ă National Geographic avoir soupçonnĂ© qu'il avait la maladie, mais qu'il avait Ă©tĂ© difficile de le confirmer. Sans l'ombre d'un doute, je pensais que [Buddy] Ă©tait positif », a dit Robert Mahoney. Toutefois, non seulement plusieurs vĂ©tĂ©rinaires dans sa rĂ©gion Ă©taient fermĂ©s en raison de la pandĂ©mie, mais certains Ă©taient Ă©galement sceptiques sur la possibilitĂ© qu'un animal attrape le clinique a finalement pu confirmer que Buddy Ă©tait bien infectĂ© et que l'autre animal de la famille, un chiot de 10 mois n'ayant jamais Ă©tĂ© malade, prĂ©sentait des anticorps au virus. Les mĂ©decins ayant traitĂ© Buddy ont dĂ©couvert plus tard que le chien souffrait aussi probablement d'un lymphome, ce qui pourrait indiquer que, comme les humains, les animaux ayant des antĂ©cĂ©dents mĂ©dicaux pourraient ĂȘtre plus susceptibles de tomber gravement malades du Covid-19. Officiellement, selon l'Organisation mondiale de la santĂ©, les animaux domestiques ne transmettraient pas souvent le virus Ă leurs propriĂ©taires. Douze chiens et dix chats ont Ă©tĂ© testĂ©s positifs au coronavirus aux Ătats-Unis, selon National Geographic. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Covid-19 dĂ©cĂšs du premier chien Ă avoir Ă©tĂ© testĂ© positif aux Ătats-Unis 11 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă la charte de modĂ©ration du Point. Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă la charte de modĂ©ration du Point.Onavait un deuil. C'est comme ça qu'il l'a attrapĂ©. J'ai demandĂ© au docteur si il pouvait nous mettre ensemble dans une chambre. Pour Un chien a bien Ă©tĂ© diagnostiquĂ© positif au coronavirus SRAS-CoV-2 Ă Hong-Kong, pourtant cela ne veut pas dire que tous les animaux domestiques vont ĂȘtre contaminĂ©s ou contaminer leurs maĂźtres. CrĂ©dits Julian Hochgesang / Unsplash. Au dĂ©but du mois de mars, une femme atteinte du COVID-19 sâest prĂ©sentĂ©e chez son vĂ©tĂ©rinaire Ă Hong-Kong. Ă sa demande, celui-ci a testĂ© son chien pour dĂ©tecter si il Ă©tait positif au coronavirus SRAS-CoV-2. AprĂšs analyse, le canidĂ© domestique a Ă©tĂ© diagnostiquĂ© âfaiblement positifâ. Des particules virales ou virions existaient en faible quantitĂ© dans ses cavitĂ©s nasales et orales, humides et donc propices Ă leur survie. Bien que ne prĂ©sentant aucun symptĂŽme liĂ© Ă lâinfection, il a Ă©tĂ© placĂ© en quatorzaine. Les scientifiques suspectent aujourdâhui que sa maĂźtresse probablement trĂšs cĂąline lui ait transmis ces particules virales sans que celle-ci ne gĂ©nĂšre dâinfection vĂ©ritable. Ce cas particulier pose nĂ©anmoins la question de la transmissibilitĂ© du virus chez nos animaux domestiques, comme le chien. Comme le relĂšve de nombreuses Ă©tudes menĂ©es sur le SRAS-CoV, le coronavirus Ă lâorigine de la premiĂšre Ă©pidĂ©mie de SRAS en 2003, et sur son successeur actuel, ce type de coronavirus provient trĂšs certainement dâune transmission animal-humain, aussi appelĂ©e zoonose. Depuis quelques annĂ©es, la chauve-souris rhinolophe Rhinolophus sp., vivant dans certaines rĂ©gions dâAsie, est un vecteur avĂ©rĂ© du coronavirus du SRAS. Celle-ci ne serait nĂ©anmoins pas parvenu Ă contaminer lâĂȘtre humain directement. Le phĂ©nomĂšne de zoonose se serait dĂ©roulĂ© Ă lâaide dâune espĂšce dite ârĂ©servoirâ, qui a jouĂ© le rĂŽle dâhĂŽte intermĂ©diaire du virus. DâaprĂšs de premiĂšres analyses gĂ©nomiques comparatives effectuĂ©es entre les Ă©chantillons du virus et des gĂ©nomes de divers animaux-candidats, il semblerait quâil sâagisse en lâoccurrence du pangolin. De nombreuses espĂšces de pangolin sont braconnĂ©es puis vendues comme denrĂ©e alimentaire, par exemple, au marchĂ© aux poissons de Wuhan, foyer du virus SRAS-CoV-2. Câest probablement dans ce genre de contexte que lâanimal rĂ©servoir a transmis le virus Ă lâhomme aprĂšs avoir Ă©tĂ© contaminĂ©, au prĂ©alable, par lâespĂšce vectrice. Fort de cette dĂ©couverte, le gouvernement chinois a depuis interdit temporairement la vente ou le transport dâanimaux sauvages sur son territoire. De lâanimal Ă lâhomme, et vice-versa ? Le processus de zoonose reste trĂšs prĂ©cis. Le fait quâun mĂȘme virus puisse se transmettre dâun animal Ă lâĂȘtre humain comme depuis le porc avec la grippe H1N1 ou depuis certains oiseaux avec H5N1 ne signifie pas que tous les animaux puissent en ĂȘtre infectĂ©s puis infecter notre espĂšce. Chaque virus possĂšde un type de cible auquel il sâattaque. Si cette cible â Ă savoir, des rĂ©cepteurs membranaires de cellules spĂ©cifiques dâune espĂšce donnĂ©e â ne possĂšde pas les caractĂ©ristiques protĂ©iques qui dĂ©finissent sa structure molĂ©culaire et donc gĂ©nĂ©tiques requises, le virus nâa en thĂ©orie aucune chance de lâinfecter. La zoonose se produit simplement lorsque dans au moins deux espĂšces animales prĂ©cises, dont lâHomo sapiens, le virus retrouve exactement la mĂȘme cible Ă atteindre par similaritĂ© gĂ©nĂ©tique en la matiĂšre entre les deux espĂšces ou Ă la suite dâune mutation pratique du virus. Le coronavirus SRAS-CoV-2 sâattaque dâabord au rĂ©cepteur membranaire ACE2 pour pĂ©nĂ©trer dans les cellules pulmonaires puis, une fois Ă lâintĂ©rieur, au rĂ©cepteur TMPRSS2 de protĂ©ases â enzymes que le virus peut utiliser â pour se reproduire et gĂ©nĂ©rer une infection. La prĂ©sence de ces deux rĂ©cepteurs ou âciblesâ a Ă©tĂ© identifiĂ©e chez lâĂȘtre humain et la chauve-souris rhinolophe. Ainsi, pour le moment, comme le souligne The Next Web, il nâexiste aucune preuve de la transmissibilitĂ© du coronavirus SRAS-CoV-2 chez les chiens ou les chats, ou toute autre espĂšce animale chez qui lâinfection nâa pas Ă©tĂ© relevĂ©e de maniĂšre avĂ©rĂ©e. Les chiens peuvent nĂ©anmoins ĂȘtre infectĂ©s par dâautres coronavirus. Dans les annĂ©es 1970, un coronavirus du genre alphacoronavirus, le CCoV pour âcanine coronavirusâ, a Ă©tĂ© dĂ©couvert Ă lâorigine dâune pathologie intestinale chez le chien Canis lupus. En 2003, des virologues se sont aperçus quâun coronavirus du genre bĂ©tacoronavirus le mĂȘme que celui du SRAS-CoV-2, le CRCoV, pouvait entraĂźner un syndrome respiratoire, similaire Ă la rhinite humaine ou rhume, chez les canidĂ©s. Le chat Felis silvestris, quant Ă lui, peut ĂȘtre infectĂ© par deux espĂšces dâalphacoronavirus le FECV, de type intestinal, et le FIPV, qui entraĂźne une pĂ©ritonite. Fonpoo Ensemble Lot de 10 de... â Gardez votre chien loin de la solitude. Les jeux de jouets peuvent soulager l'anxiĂ©tĂ© de...â Le jouet Ă mĂącher peut prĂ©venir les maladies des dents. Pendant la pĂ©riode de mĂącher...â Dix sortes diffĂ©rentes de jouets pour de jouets comprend des jouets...â Couleur lumineuse et jouets ont une couleur remarquable qui attire beaucoup... Cependant le taux de Covid-19 rĂ©coltĂ© dans la gueule du chien semble trĂšs faible et lâanimal ne prĂ©sente aucun symptĂŽme. Doit-on pour autant sâinquiĂ©ter dâune transmission entre un
Votre chien ou votre chat peut-il attraper le coronavirus ? Câest peu probable », a affirmĂ© mercredi 12 mars lâAgence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire de lâalimentation, de lâenvironnement et du travail Anses. Alors que la contamination initiale du Covid-19 Ă lâHomme est probablement dâorigine animale, il nâexiste aucune preuve que les animaux de compagnie et dâĂ©levage jouent un rĂŽle dans la propagation du virus ».Le cas dâun chien testĂ© faiblement positif » au coronavirus Ă Hong-Kong fin fĂ©vrier alors que son maĂźtre Ă©tait lui-mĂȘme contaminĂ© a soulevĂ© des questions sur les infections homme-animal. LâAnses a alors rĂ©uni en urgence » un groupe dâexperts pour se pencher sur cette question. Si le virus provient probablement dâune espĂšce de chauve-souris avec ou sans intervention dâun hĂŽte intermĂ©diaire, [âŠ] le passage du SARS-CoV-2 de lâĂȘtre humain vers une autre espĂšce animale semble actuellement peu probable ». MĂȘme si chez certaines espĂšces domestiques, le rĂ©cepteur auquel sâattache le SARS-CoV-2 pour entrer dans les cellules est prĂ©sent, cette prĂ©sence nâest pas suffisante pour permettre lâinfection de ces animaux. En effet, le virus nâutilise pas seulement le rĂ©cepteur mais aussi dâautres Ă©lĂ©ments de la cellule qui lui permettent de se rĂ©pliquer ». LâAnses recommande toutefois des Ă©tudes complĂ©mentaires pour identifier les facteurs permettant cette se laver les mains avant de cuisinerLa possibilitĂ© de transmission directe du virus par un alimentissu dâun animal contaminĂ© a Ă©galement Ă©tĂ© exclue par les experts. Selon eux, la seule voie possible de contamination des aliments est leur manipulation par une personne malade. Elle peut les contaminer en les prĂ©parant avec des mains souillĂ©es, ou en les exposant Ă des gouttelettes infectieuses lors de toux ou dâĂ©ternuements ». Si aucune Ă©lĂ©ment ne laisse penser que la consommation dâaliments contaminĂ©s puisse conduire Ă une infection par voie digestive, la possibilitĂ© dâinfection des voies respiratoires lors de la mastication ne peut ĂȘtre totalement exclue ».Pour Ă©viter la contamination des aliments, de bonnes pratiques dâhygiĂšne sont donc recommandĂ©es. Il faut se laver les mains avec du savon avant et pendant la prĂ©paration des repas. Ce lavage doit avoir lieu aprĂšs tout geste contaminant aprĂšs avoir toussĂ©, aprĂšs sâĂȘtre mouchĂ©, etc.. Le nettoyage des surfaces, des matĂ©riels et des ustensiles de cuisine est tout aussi important ainsi que la sĂ©paration des aliments crus et cuits. Le virus est, par ailleurs, sensible aux tempĂ©ratures de cuisson. Une cuisson Ă 63°C pendant 4 minutes permet de diviser par 10 000 la contamination dâun produit alimentaire.
.